Parmi les usagers récurrents du gymnase des Grippeaux, il y a par définition les élèves du lycée Les Grippeaux. Ils sont 360 élèves à pratiquer l'EPS dans l'installation. "On peut leur faire faire autant de la boxe que du badminton ou des sports collectifs", indique Yohan Bichon, professeur d'EPS dans l'établissement depuis 2003. Pour lui, le gymnase, c'est son outil de travail. Il se souvient "des douches qui ne fonctionnaient pas bien ou des fuites d'eau sur le parquet. C'était dangereux".
DES RÉNOVATIONS ATTENDUES
Le gymnase des Grippeaux date des années 1970. En plus des lycéens en cours d’EPS, les clubs sportifs s’y entraînent. Le Volley-club parthenaisien pratique dans les locaux depuis plus de 40 ans. Gaël Fréret, le président de l’association, voit la différence de conditions depuis les travaux. "Depuis la rentrée, on est bien. On peut prendre des douches chaudes après l'entraînement, c'est agréable !", sourit le volleyeur. "Maintenant, dans le bureau, on veut investir les lieux : on veut afficher notre logo sur les murs du gymnase", précise-t-il. Déjà, un clin d'œil a été fait aux 80 licenciés du club. Les vestiaires sont en jaune et bleu, les couleurs des équipes de volley-ball.
Gaël Fréret espère une "phase 2" pour les travaux. En regardant le sol en béton, il lance l'idée : "Pourquoi pas avoir du carrelage ? Ça ferait un sol encore plus propre qu'aujourd'hui". Pour le moment, la municipalité n’a pas prévu d’installer du carrelage au sol. Les travaux ont coûté près de 374 000 euros, financés par la Région et la Ville.